Torture - Chez Apocrypha [Pv. Akatsuki]

Sujet: Torture - Chez Apocrypha [Pv. Akatsuki] Dim 29 Mar 2009 - 19:41

Des contacts... un peu de sang... une folle envie de frapper tout ce qui bouge... des contacts... encore ? Non... trop..! Trop de contacts avec sa peau... cette fine peau pâle qui donne envie d'y goûter... stop ! Ne plus penser qu'au chemin. Se concentrer sur le trottoir. Ne plus regarder son visage blême. Non ! Ne bouge pas ! Ne me touche pas ! Pourquoi perdre le contrôle de soi-même à cause d'un si frêle chose ? Akatsuki... ma perle... non ! Pourquoi penser ainsi...? Pourquoi penser ceci...? Il est charmant quand il ferme les yeux... ah !

Apocrypha marchait maintenant en direction de son appartement, qui se trouvait au dernier étage d'un grand immeuble, avec Akatsuki dans les bras. Dans son logis, on distinguait deux sortes de pièces... il y avait les pièces normales, comme le salon ou les chambres... et les pièces réservées, du genre... salle de torture ou entrepôt d'armes... mais... la pire des chambres que l'on pouvait trouver chez lui... c'était bien... la réserve. Dans cette pièce se trouvaient... des magazines hentaï, mais pas seulement. La collection s'y trouvauit aussi... la collection ? C'est... une collection d"armes"... de type sexuelles. Cette toute petite salle était la plus redoutée par tous les invités d'honneur - ou invitées - d'Apocrypha. Bref... passons outre cette explication.

Arrivé devant l'ascenseur, au fond du couloir de l'entrée de l'immeuble, Apo posa Akatsuki à terre et le prit par la main. Il appela la cabine et entra dedans lorsqu'elle fut ouverte. Pendant qu'elle montait, le tueur ne détourna pas son regard du doux visage d'Aka... et serra de plus en plus fort sa main dans la sienne. Le jeune avait l'air extrèmement gêné, pour on ne sait quelle raison. Qu'est-ce qu'il m'arrive ? Quel est cette bouffée chaude qui m'envahit, à l'instant ? Se pourrait-il que ce soit... nan, impossible. Et pourtant...

Au bout du grand couloir du dernier étage se trouvait une porte décorée d'une belle épée placée sous verre. C'était la porte marquée "A.A - 666". Bien entendu, ce n'était pas l'appartement numéro 666, mais Apocrypha préférait ce chiffre à son propre numéro de chambre. Il glissa la clé dans sa serrure et la fit cliqueter, tourner deux fois et la retira en ouvrant la porte. Il fit passer Akatsuki avant et bloqua le verrou intérieur derrière lui.

"Then... it's your house, now. You've just to stay with me. Don't worry for the Academy. Ok ?"

Apocrypha poussa légèrement Aka en avant et l'emmena dans son salon. Il le fit asseoir bien au fond du canapé et se plaça à califourchon sur lui, appuyant sur son torse d'une main pour ne pas qu'il s'échappe et enlevant son gilet à manches courtes de l'autre...
Le tueur déposa de furtifs baisers sur cette fine peau pâle qui lui faisait envie depuis le début, s'arrêta pour lécher avec avidité les tétons... puis il remonta dans le cou, où il mordit légèrement la chair d'Aka. Apo arriva enfin au niveau des lèvres... il interrogea sa victime du regard, comme pour lui demander s'il pouvait le faire. De toute manière, s'il ne voulait pas, c'était la même chose et rien ni personne ne pourrait en changer. Ainsi va la vie...

"I think I love you... lança-t-il dans un sourire, you're very lucky, Aka..."

Invité

Akatsuki, dans les bras d'Apocrypha, s'était endormi rapidement. Sa musique marchait toujours à fond dans son casque et l'entraînait dans un rêve au rythme de la musique... dans cette rêverie, il y avait un homme plutôt jeune, la vingtaine, avec de longs cheveux bleus et des yeux d'améthyste sublimes. L'étudiant y était aussi, habillé dans une belle robe rose de fille avec des chaussons de danse aux pieds... il dansait avec l'homme. Autour d'eux, il y avait beaucoup d'autres gens. Féline aussi y était. Il y avait aussi la fille qui l'avait accueilli lors de son arrivée, et bien d'autres. Tous étaient habillés en conséquence, car tous étaient à un bal. Féline, elle, dansait avec un jeune homme aux cheveux rouges assez charmant... qui la regardait bizarrement, avec un sourire vicieux sur les lèvres. Il pensait certainement pouvoir sortir avec elle, mais c'était peine perdue. Bref, de la musique, la même que celle qui défilait dans ses oreilles, se faisait entendre à l'autre bout de la pièce. Il y avait des violonistes et des pianistes... et d'autres musiciens. Mais ce qui dérangeait Aka dans ce rêve, outre le fait qu'il portait cette robe rose, c'était de danser avec Apocrypha... mais ce n'était pas un rêve prémonitoire. Ou plutôt, mieux valait espérer que non.

Au bout d'un moment, à l'entrée d'un grand immeuble, Akatsu émergea de son sommeil profond. Il s'aperçut, gêné, qu'Apo le regardait tendrement et que lui le regardait aussi... et aggripait son haut comme souvent dans la nuit il aggripait ses draps... c'était... gênant. Très gênant. Mais arrivé au bout du couloir, face à un ascenseur, il se fit déposer à terre et prendre par la main. Celle du tueur était gantée d'un tissu bordeau [Apocripha/0 =D] tandis que la sienne était douce et fine, dénudée de tout gant.

"Hmm... where are we..? demanda-t-il, incertain d'un réponse. What time is it ? How long have we walked ?"

Akatsuki n'eut, comme prévu, aucune réponses à ses questions. En fait, Apocrypha ne pouvait pas les lui donner tant il le fixait intensément... et d'ailleurs, pourquoi ce regard si provoquant et gênant ? Ca n'avait pas de sens ! Rien n'avait de sens, avec cet homme !
Quand ils furent arrivés en haut, tout en haut, mais alors vraiment... tout en haut de l'immeuble, au bout d'un long... heu, très long couloir... se trouvait une porte marquée "A.A - 666". C'était très engageant, comme entrée ! Au moins, Apocrypha était certain de ne pas avoir beaucoup de visiteurs, c'était plutôt calme comme situation. Apo le fit entrer après avoir ouvert, et referma le verrou intérieur derrière lui. Il l'emmena dans le living, le fit asseoir sur le divan et se plaça sur lui... là, Aka commença à paniquer. Qu'allait-il se passer, finalement ? Est-ce qu'il allait finir violé et mort ? Ou allait-il se soumettre pour vivre ? Quelle situation embarassante...
Le tueur le débarassa du gilet de sa victime et se mit à l'embrasser de part son corps... et lécha avec envie ses tétons avant de se relever et de lui révéler le fil de ses pensées. Akatsuki rougit immédiatement et le poussa violemment sur la table qui se trouvait derrière lui.

"What that want to say ?! You can't make me this ! Kill me, it was your main objective ! Don't love me, you can't love me correctly..."

Akatsu se leva, remit son gilet et baissa la tête en serrant les poings. S'il avait été magique, le tueur resté con contre la petite table aurait certainement ressenti une aura meurtière et ravageante flotter autour de lui...

"Don't touch me ! You can't touch me !!"

Aka s'accroupit au niveau du visage d'Apocrypha et le prit par le col brusquement. Etrangement, il n'eut aucune réaction et se laissa faire comme un bon soumis... ce qu'il, évidemment, n'était pas.

"Nevertheless... as for me... can I ?"

Le jeune homme fit passer ses bras dans le dos d'Apo et caressa ses cheveux tendrement. Ce qui se passait au niveau de leurs lèvres n'est pas à décrire... eh oui, oubliant tout principe, Akatsuki avait embrassé langoureusement celui qui devait le tuer une heure plus tôt... mais qu'est-ce qui lui était passé par la tête ?! Que venait-il de faire ?! Quelqu'un pourra-t-il l'expliquer ? Et pourquoi ?

Apocrypha attendait encore une réponse d'Akatsuki... qui ne se manifesta que quelques secondes plus tard, quand le tout eut percuté son esprit. Il le poussa brusquement et violemment contre la table basse... le tueur laissa échapper un gémissement de douleur. Effectivement, le choc contre le verre dur avait provoqué une douleur intense dans son dos. Son protégé se leva, serra les poings et baissa les yeux. Il semblait assez... sur les nerfs. Aka s'abaissa au niveau du visage d'Apo, l'attrapa par le col et le regarda dans les yeux. "Can I ?"

"Yes you can... of course....."

Aucun geste retenu, Aka se jeta presque sur lui et le serra d'abord contre son corps. Apocrypha se sentit rougir et s'enflammer, son corps bouillir et sa vue se troubler quand ce qu'il pouvait appeler son amant l'embrassa langoureusement.
Le tueur, désirant et désiré, ne tarda pas à en demander plus. Laissant glisser une main dans la chute de reins du jeune homme, il le fit basculer en arrière. Le canapé serait certainement plus confortable pour "le" faire... mais le voulaient-ils seulement ? Pour sûr, oui !

"Je t'aime, Aka..."

Apocrypha arrêta ses caresses au dessus du jean, repassa sa main devant et l'interrogea du regard. Sans attendre plus de réponse, il déboutonna le jean d'Akatsuki et dézzipa la fermeture éclair... là, il attendit réellement ses instructions.

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