Une journée pleine de surprise [PV Axy]

Cela faisait maintenant quelques jours, plus précisément un peu moins d'une semaine, que Squall était arrivé en ville et s'était installé à l'académie. Leonhart n'avait pas vraiment de raison valable de rester à l'école, il décida donc d'aller faire un tour en ville, peut être qu'il y ferait connaissance avec quelqu'un et ainsi tirer une croix sur ces parents qui l'avaient longtemps privées d'amis. Squall n'était pas le genre d'homme à rester coincer dans le passé en plus cela servait strictement à rien. Lui était plutôt de genre à rester renfermer sur lui-même pour trouver un sens à sa vie. Au début il pensait que réaliser les idéaux de ses parents lui suffiraient et que tant qu'il se soumettait à leurs ordres comme un bon petit chien chien tout irait pour le mieux. Cependant, ils n'étaient plus derrière lui à présent et le jeune homme n'avait toujours pas trouvé sa raison de vivre.

Ses pas l'emmenèrent alors devant un immense bâtiment dans lequel il n'avait jamais encore eu l'occasion d'entrer : la patinoire. Un soupir sorti de sa gorge et il haussa un peu les épaules, se disant à lui-même que ça ne devait pas être si terrible de se mélanger à des couples et des personnes seuls dont il ne connaissait rien du tout. Il poussa alors la porte et paya son entrée. L'air froid de cet endroit lui fouetta le visage, mais il finit tout de même par s'y habituer. Maintenant il restait une question, est-ce qu'il allait patiner ou non... Il n'avait jamais eu l'intention de le faire, mais pousser par un je ne sais quoi il alla louer des patins et les enfila.

Il alla s'installer sur un banc et attendit que quelques personnes s'en aillent de la glace, oui, car trop de monde peut être dangereux, surtout si le jeune homme entre à son tour. C'est pourquoi une fois que la glace fut moins pleine et entra et commença à avancer avec délicatesse et élégance. Cela faisait bien longtemps qu'il n'avait fait ça, mais il n'avait rien perdu. C'est alors qu'il vit un jeune homme, il se demanda s'il s'agissait d'un étudiant lui aussi ou pas et s'avançât dans sa direction :

Bonjour...

Cela faisait longtemps que je n'avais pas poser les pieds où plutôt les patins sur la glace, je me sentais comme, revivre. C'est l'académie, ça va bien cinq minutes mais après c'est ennuyeux, je me sentais perdue, trop de monde. J'aime bien la foule mais de loin, ou en photo et tout ces gens qui tourne dans le même sens cela me donnais le tournis , j'allais donc me chercher un chocolat chaud, j'irai patiner plus tard.
J'examinais les gens, il y avais deux personnes, deux garçons qui m'intriguaient. ça marche comme ça chez moi. Parfois il me suffisait d'un regard pour que je sois fasciner par une personne ou un action en train de se dérouler. Je les observer, un était plutôt filiforme, tout mince, jeune, plus jeune que moi en tout cas, il avait l'air tout intimidé par le grand ténébreux qui se trouvait à côté de lui... qui ne le serait pas hein. En même temps peut être m'avait t-il remarquer... Après tout des filles aux cheveux violets clairs c'est pas très courant...
Je me mis à rougir comme une tomate d'un jardin au mois de juin. J'étais rouge ! très rouge ! trop rouge. Les deux garçons étaient a cinq mètres de moi, assis, et moi je me faisais des films sur ce que les gens autour dont eux pouvaient bien penser de moi. C'est vrai que je ne suis pas tout a fait normale, et rouge en plus.
Voilà qui fait bien mon affaire et comme si ça ne suffisait pas... ma maladresse en rajouta un coup. Alors que je comptait avancer vers le banc situé à côté d'eux histoire de me remettre sur un teint plus clair... plus Moi. Je trébuchais. Je fermais les yeux et quand je les ré-ouvris, je venais d'asperger un peu le haut que portais le jeune et j'avais dut carrément ébouillanter le ténébreux, le trois quart du chocolat s'étant vider sur sa jambe gauche au niveau des genoux.

Je me relevais avec précipitation, j'étais toute gênée et embarrassée.

" Je... je ... suis vraiment, sincèrement.. désolée ! je vous présente mes excuses, je n'ai vraiment pas fait exprès, est-ce que ça va ? vous voulez un pansement !? tenez prener ça en attendant !"

Je leurs tandis des mouchoirs de mon sac.

J'étais rouge... trop rouges...