Il faisait nuit noire. En fait la nuit était même bien avancée. Makenna avait bien apprécié sa soirée aux sources chaudes. La journée avait mal débutée, mais elle c’est bien terminée. Elle était pour une fois calme et reposé. Une première depuis qu’elle avait déménagé dans ce pays. Elle devait retourner à l’académie malgré le couvre-feu largement dépassé. Il ne lui restait plus beaucoup d’heure de sommeil avant son cours du matin, mais cela ne lui dérangeait guère.
La jeune fille décida de rentrer par métro. Elle gagnera du temps ainsi. Makenna marcha le long d’une rue principale à la recherche d’une station. Il n’y avait pas un chat. Seulement quelques voitures qui tournaient aux intersections. Elle avait évidemment peur qu’un malfrat la traque. Cependant elle garda un air sûr et marcha la tête haute. Elle avait entendu dire que les violeurs s’en prenaient à des gens qui leur semblaient plus faible et moins sur d’eux. La petite italienne serra toute de même son sac à main près d’elle.
Makenna arriva enfin à une station. Elle descendit le grand escalier de pierre. Encore là, il n’y avait pas grand monde. Autant qu’a l’heure de pointe, c’était achalandé, autant que cette nuit elle pouvait compter le nombre de personnes sur ses doigts. Il y avait un jeune homme qui se tenait droit face aux rails qui attendait le prochain train. Un autre à l’air plus déconfit qui s’était couché sur un banc. Il y avait aussi un couple qui se bécotait dans un coin. Elle était presque dégouter à les regarder, mais plus jalouse de les voir heureux ainsi.
La petite italienne passe sa carte passeport dans le magnétisme de la porte, afin d’accéder au quai d’attente. Elle resta en retrait. Elle marcha jusqu’à ce qu’elle voit un carte au mur de toutes les stations d’arrêts. Elle ne savait qu’elle prendre pour arriver près du collège. Elle se s’entait un peu embarrassée.
Cependant au moment où elle allait se retourner, elle eu un choc. Sur la surprise de la bousculade, Makenna tomba. L’homme qui l’avait poussé pris la fuite à toute vitesse. C’est à se moment que la jeune femme remarqua qu’elle n’avait plus son sac à main. Elle essaya de se relever le plus vite possible, mais risqua de glisser.
- À l’aide!! Au Voleur !!, cria-t-elle en pointant le malfaiteur du doigt.
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